L’apaisement

13.00

L’apaisement : par Romuald Olb

L’apaisement :

Abel, magistrat bordelais à la retraite, n’a pas connu son père harki, abandonné par le pouvoir gaulliste puis assassiné par un Algérien au mois d’avril 1962. Il n’a pas eu la chance d’être élevé par ses deux parents, Ibrahim et Selma.
Il décide d’écrire l’histoire des siens avec un double objectif en tête : faire la paix avec le général de Gaulle et se libérer de ce passé douloureux pour tracer son propre chemin.
Accompagné de sa fidèle chienne Maya, il se rend en train à Colombey-les-Deux-Eglises pour engager un dialogue onirique avec le général de Gaulle.

Ce roman historique sur le drame des harkis est aussi celui de l’amour d’un fils pour sa mère, atteinte de la maladie d’Alzheimer.

C’est enfin un témoignage intemporel sur la question identitaire, le déracinement, la résilience et la nécessité de pardonner à ses ennemis pour devenir plus fort.

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Description

L’apaisement : par Romuald Olb

L’apaisement :

Abel, magistrat bordelais à la retraite, n’a pas connu son père harki, abandonné par le pouvoir gaulliste puis assassiné par un Algérien au mois d’avril 1962. Il n’a pas eu la chance d’être élevé par ses deux parents, Ibrahim et Selma.
Il décide d’écrire l’histoire des siens avec un double objectif en tête : faire la paix avec le général de Gaulle et se libérer de ce passé douloureux pour tracer son propre chemin.
Accompagné de sa fidèle chienne Maya, il se rend en train à Colombey-les-Deux-Eglises pour engager un dialogue onirique avec le général de Gaulle.

Ce roman historique sur le drame des harkis est aussi celui de l’amour d’un fils pour sa mère, atteinte de la maladie d’Alzheimer.

C’est enfin un témoignage intemporel sur la question identitaire, le déracinement, la résilience et la nécessité de pardonner à ses ennemis pour devenir plus fort.

Extrait

Lorsqu’Abel, magistrat médiocre et sans envergure, réalisa qu’il était officiellement à la retraite, la Russie venait de déclarer la guerre à l’Ukraine.

Le jour de son départ, doublement déprimé, il n’organisa aucun pot et ne salua aucun de ses collègues. Il se contenta de dire un au revoir mécanique à sa greffière neurasthénique et d’arroser la plante verte qui ornait son bureau de juge d’instruction. Il n’eut ni l’envie ni la force de décrocher des murs ses tableaux de Maradona et de Steve McQueen.

 

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