Description
Mettre l’humain au coeur du changement
Le livre manifeste pour réagir en tant que citoyen
Comment mettre l’humain au coeur du changement ?
Depuis 40 ans, le régime libéral déréglementé prôné par Reagan et Thatcher règne en maître sur les conditions de nos vies sociales et personnelles. Il a généré une évolution technologique d’une rapidité jamais vue dans l’histoire des sociétés humaines.
Après avoir fait la démonstration de son efficacité après la seconde guerre mondiale pour améliorer sensiblement les conditions de vie matérielle des hommes, le système s’est petit à petit emballé au point que les citoyens semblent en avoir perdu la maîtrise. Le rôle de la finance dans les dérèglements de l’économie a été moteur et explique beaucoup de la perte de sens dont souffrent nos sociétés et du désenchantement de ses citoyens.
C’est l’histoire de ces dérèglements qui est expliqué ici, avec des exemples qui en sont des manifestations.
La science nous a fait croire que nous pouvions ne plus dépendre de la nature, que nous pouvions être des « presque dieux ». Or l’homme est aujourd’hui rattrapé par sa condition : il est de la nature et il doit se souvenir qu’il en dépend.
Bernard Gervais propose des solutions concrètes qui partent du monde rural à partir duquel peuvent s’imaginer de nouvelles formes d’organisation, de solidarité et de vie sociale, saines et solides. Le changement proposé commence par une nouvelle agriculture, de connaissance plutôt que d’investissement. L’agriculture peut être un formidable laboratoire pour montrer un nouveau chemin.
Ce livre est aussi un manifeste pour réagir et pour que les citoyens reprennent en mains leur destin commun et lui donne un visage plus humain.
Bernard Gervais, auteur de « Mettre l’humain au coeur du changement »
Bernard Gervais a fait, de 1982 à 1999, dix-sept ans de fusions acquisitions chez Indosuez où il était Directeur de la Financière Indosuez. Il crée en 1999 un fonds de private equity de près de 66 millions d’euros. Ce fonds rassemble des investisseurs personnes physiques, pour la plupart des chefs d’entreprise, et investit dans des PME présentant un vrai potentiel de développement. Il quitte la présidence de ce fonds en 2014.
Ces expériences l’ont mis en première ligne pour observer les dérives d’une économie de plus en plus financière, court-termiste et désincarnée. C’est ce qu’il explique dans ce livre d’analyse et de propositions où il pointe un manque « structurel » d’humain qui nuit de plus en plus dangereusement au consensus social.
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