Combien gagnent les auteurs ?

Combien gagnent les auteurs ?

Combien gagnent les auteurs ?

C’est une question que beaucoup se posent : combien gagnent les auteurs ?

Si JK Rowlings (Harry Potter) figure en tête des auteurs les mieux rémunérés avec 92 millions de dollars pour l’année 2019, c’est loin d’être le cas pour la majorité des auteurs !

La grande majorité des auteurs perçoivent des revenus plutôt faibles, et beaucoup doivent exercer une autre activité (98%), autrement dit, ils ne vivent pas de leur plume.

Combien gagne un auteur édité ?

Lorsqu’un auteur est édité, il perçoit entre 6 et 12% du prix hors taxe du livre vendu, et la majorité sont en dessous de 10% si l’on en croit le baromètre des Relations auteurs/éditeurs de la Scam et SGDL publié en mars 2018.

Il y a environ 101 000 auteurs en France, 90% perçoivent un revenu inférieur à 8000 € par an !

Les 10% restants sont les auteurs de best-sellers…

L’argent n’est donc pas la motivation des écrivains, le moteur c’est l’envie ou plutôt le besoin d’écrire.

Le métier d’écrivain n’est pas facile, il exige passion et ténacité.

L’auteur ou écrivain est avant tout un amoureux des mots qu’il aime manipuler, assembler, manier. Les mots sont sa matière première.

L’écrivain aime la langue française et joue avec elle jusqu’à trouver la phrase, l’émotion qui lui conviennent. L’écrivain est avant tout un lecteur, un curieux, quelqu’un que les mots ravissent, que les mots amusent, que les mots troublent et animent.

A vos plumes !

Combien gagnent les auteurs ?

« Ecrire, c’est aussi ne pas parler. C’est se taire. C’est hurler sans bruit.« 

Marguerite Duras

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De l’absolue nécessité de l’Histoire

De l'absolue nécessité de l'histoire

De la nécessité de l’Histoire

De l’absolue nécessité de l’Hsitoire

« HISTOIRE » vient du mot grec « HISTORIA » qui signifie « ENQUÊTE ».

D’après son étymologie, l’Histoire consiste donc en une enquête, une narration, sur les faits passés de l’humanité, d’un lieu, d’une époque, d’une société…etc.

« Historia » est le titre du premier livre de l’histoire européenne écrite au Vème siècle par le Grec Hérodote, que l’on considère comme le père de la science historique.

Les siècles s’enchainent depuis lors, sans que cette science puisse éclore dans toute sa splendeur. Pourquoi ?

Dès le Xième siècle, les poèmes et les chansons de Geste racontent les aventures des chevaliers, l’idéal de la société médiévale, retraçant la fidélité des engagements du vassal à son suzerain, mettant surtout en exergue ses prouesses guerrières au service de la foi. Mais tous ces récits sont revus et corrigés par la légende et le merveilleux.

En France, le terme « Histoire » apparaît seulement au XIVème siècle.

Il faut attendre Bossuet, au XVIIème siècle :

« De ces particularités [sur le monde] elle [l’âme] compose l’histoire de la nature, dont les faits sont toutes les choses qui frappent nos sens. » (Conn. III, 8 de Bossuet).

Dans le « Discours sur l’Histoire universelle », ouvrage écrit en 1681, dédié à son élève le Dauphin de France, fils de Louis XIV, Bossuet explique la suite de la religion et les changements des empires, depuis le commencement du monde jusqu’au règne de Charlemagne.

Mais c’est encore au siècle suivant qu’apparaît celui que l’on nomme le « père de l’Histoire de France » : Jules Michelet (1798 – 1874).

Homme du peuple, Jules Michelet s’investit dans sa mission de l’éclairer, de doter la République naissante d’une Histoire nationale.

Dire haut et fort la vérité factuelle du Monde est-elle la plus périlleuse des missions confiées à l’Humanité ?

Pourtant sans son Histoire l’Homme n’est rien.

Le néant de la Connaissance n’engendre que noirceur.

L’Historien est là, il vient éclairer le cœur et élever l’âme du Monde.

« Viennent ensuite les historiens qui considèrent que leur premier devoir, c’est de détruire les légendes, et de rétablir la vérité. Il est certain que, sans eux, l’histoire des peuples ne serait qu’un vaste poème, où les faits agrandis et dramatisés par l’imagination des foules, grandement embellis ou inventés par les flatteurs des rois, brilleraient, couleur d’or et de sang, dans une lumineuse brume. » (Marcel PAGNOL, Le Secret du Masque de Fer, 1968)

D’où l’absolue nécessité de l’Histoire

Nécessité de l'Histoire

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La mémoire transgénérationnelle

CONVERSATIONS

La maîtresse m’a dit :

« C’est bien, mais tu dois t’appliquer à bien « faire les liaisons »

Le professeur m’a dit : 

« Il y a encore beaucoup trop de fautes ! »

Papa a renchéri :

« Chacun son travail, le tien consiste à « apprendre », pour l’instant, alors applique-toi ! »

Maman a souri, elle est émue par ma belle écriture…

La mémoire transgénérationnelle

Le petit livre qui vous aidera à trouver la dernière clef de l’énigme…

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Un petit clic pour un grand déclic

A tous nos amis lecteurs qui ont déjà « cliqué »,

A tous ceux qui s’apprêtent à le faire :

Le « clic » est un bruit, un son d’une durée très brève…assez longue cependant pour que l’on en reconnaisse l’onomatopée.

Le mot aussi, est un son, composé d’une ou plusieurs syllabes. Monocorde ou polyphonique, le mot est un son qui a du sens.

Ainsi le mot « clic » devient-il plus fort en substance, en force, en signification…

Dans le langage informatique, le « clic » consiste en un enfoncement puis relâchement rapide du bouton de la souris d’un ordinateur. Il s’exprime par un son différent tout en étant chargé du même sens…

Mot murmuré ou clamé, geste d’un doigt calme ou énervé, le clic est là, à nous hurler son sens profond.

Son sens, on le connaît tout de même ! Est-il bien intéressant de s’attarder sur le sujet ?

Peut-être, juste pour comprendre qu’au-delà du sens, il y a l’espoir !

L’espoir est toujours là. Il s’agit d’un « déclic », né d’un tout petit mot dont il ferme la boucle, aussi simple que le mouvement de doigt qui le provoque.

« Clic » et « déclic » se connaissent depuis fort longtemps, si bien qu’ils peuvent aussi bien l’un que l’autre alerter et déclencher le mécanisme de réparation !

Et si un clic pouvait changer le monde ? Cliqueriez-vous ?

Un petit clic pour un grand déclic
Et si un clic pouvait changer le monde ?
Reset world, reformater le monde

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Le marché du livre en France

Le marché du Livre en France

Le marché du livre en France

Combien de livres sont publiés chaque année ?

Comment se porte le marché du livre en France ? La filière livre qui inclut les activités d’édition, de diffusion, de distribution, de commerce de détail et de bibliothèque emploie en France plus de 80 000 personnes. En y ajoutant les plus de 100 000 auteurs répertoriés, on peut dire qu’un nombre conséquent de personnes travaillent « dans le livre ».

Une multitude de livres sont publiés chaque année. Nous sommes dans une industrie de la nouveauté où les rares succès commerciaux vont équilibrer les livres à tirages moindre. Plus il y a de livres produits, plus il y a de chance de produire un succès commercial, et par conséquent plus la durée de vie d’un livre se réduit…

En 2018 par exemple, près de 68 000 nouveautés sont sorties. Au total, il y a 783 000 références disponibles en version papier, beaucoup moins en ebook (280 000 environ).

Le lecteur a donc le choix, certainement trop de choix.

Quel est le tirage moyen ?

Ce qui va de pair avec le nombre de livres produits, c’est le tirage moyen qui baisse d’année en année ! (un peu moins de 5000 exemplaires pour 2017). Ce tirage moyen qui s’affaiblit d’année en année cache malgré tout d’énormes disparités. Les ventes se concentrent en effet sur une petite minorité de titres. Le secteur de l’édition réalise par exemple 20% de son chiffre d’affaires sur les 1000 titres les plus vendus.

La part belle est faite à la littérature générale (romans, nouvelle, poésie, théâtre…) qui conserve la première place avec environ 25% des exemplaires produits et vendus. D’autres secteurs tirent leur épingle du jeu, notamment les livres Jeunesse et la bande dessinée dont la part augmente d’année en année. Le secteur de l’édition scolaire occupe lui aussi une part importante du marché de l’édition (14%).

Pour résumer :

Pour résumer, il y a de plus en plus de livres, les succès commerciaux sont très rares étant donné le nombre de titres publiés chaque année. Le lecteur a de plus en plus de choix, en format papier et ebook mais pour les auteurs et pour les petits éditeurs c’est une autre histoire (à suivre sur ce blog).


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Le mot

Le mot : le  mot n'est il qu'un son ou bien a -t-il un sens ?

Qu’est-ce-qu’un mot ?

Le mot n’est-il qu’un son, composé d’une ou de plusieurs syllabes ?

Monocorde ou polyphonique, ce son-là a un sens !

Le mot naît un jour pour une raison quelconque, il vit tant qu’il a du sens, puis il s’éclipse quand il n’est plus utile !

A l’origine, il n’est que murmure… son étymologie latine nous le laisse ainsi entendre : du latin. muttum, mot, grognement, muttire, grogner, murmurer.

Sa seule absence vaut silence complet !

Ne pas entendre ou connaître « le moindre mot » signifie grande ignorance !

Le mot est vivant : gare à celui qui le compte ou qui le mange, qui l’utilise à mauvais escient car l’impropre et l’injure guettent le maladroit !

Le mot est vrai, même s’il est à double-sens, équivoque, lapsus…

Le mot peut donc être propre ou impropre, faible ou fort, il est jugé sur sa justesse.

Le mot devient douceur et refuge, inventé ou gardé secret, caresse consolatrice.

Quelquefois il s’agace et grossit de façon outrancière, pourtant il peut très facilement se changer en mot pour rire !

Le mot séduit et le mot nuit. Celui qui en possède beaucoup se sent souvent plus fort.

L’avare et l’avide de mots vivent pourtant, quelquefois, conjointement…

Le mot est doux ou intransigeant, douleur ou récompense.

Il peut être injure et offense, quand en d’autres circonstances il réconforte, soulage et sauve.

Du premier babillé au dernier prononcé les mots affluent sans mesure imposée.

Le mot s’apprend, se dit, se lit, s’écrit et se chante. Il se rêve aussi et se range dans nos cœurs et dans nos mémoires.

Il se partage généreusement dans toutes les scènes d’une existence. On l’apprécie ou on l’écorche sans qu’il s’en offusque la plupart du temps, il peut être dur mais il sait pardonner.

Le fin-mot est-il celui de la fin ?

Peu importe, puisqu’il appartient à chacun de nous de le choisir !

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